Salutiste
Message de Pâques du Général, " Je n’ai pas honte de l’Évangile"
Dans ce temps de Pâques 2022, je vous adresse mes meilleures salutations. L’apôtre Paul affirme dans le chapitre 1, verset 16 de sa lettre à l’Église de Rome : « Je n’ai pas honte de l'Évangile, car c’est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit ». Me joignant à Paul, je réaffirme ma confiance totale dans la vérité, la puissance, et la nécessité du message de Jésus-Christ.
1881-2021 : 140 ans de présence de l’Armée du Salut en France. Adversaires et défenseurs
Autour du canal Saint-Martin, la « Maréchale » Booth et les salutistes commencent à voir les premiers fruits de leur mission. Convertis, de jeunes hommes et femmes s’enrôlent dans cette armée. Certains intègrent « l’école militaire », une formation basique de quelques semaines, à l’époque, afin de devenir officiers. À leur tour, avec un zèle apostolique remarquable, ils propagent le message porté par En Avant ! le journal salutiste publié à partir de 1882.
« Sur les pas des disparus » : découvrez l’histoire de l’Armée du Salut à travers un jeu mobile géolocalisé dans les rues de Paris
Et si vous meniez l'enquête dans Paris à l’aide de votre smartphone pour retrouver le contact d’un agent de terrain en résolvant des énigmes ? C'est ce que vous propose l’Armée du Salut, qui s’est associée au projet Atlantide afin de vous faire vivre une aventure qui vous aidera à mieux comprendre une partie de son histoire et de ses missions en France.
1881-2021 : 140 ans de présence de l’Armée du Salut en France. Les débuts d'une croissance
Depuis mars 1881, le trio salutiste persévère dans son action à Paris. Il est rapidement renforcé. De Londres, arrivent quelques nouvelles officières : Elizabeth Clarke, Lucy Johns, Blanche Young et Kate Patrick. Deux hommes, Herbert Booth et Arthur Clibborn, complètent le détachement.
1881-2021 : 140 ans de présence de l’Armée du Salut en France. Les premiers soutiens promis tardent
« Salle comble pas de trouble. Stop. Une attention merveilleuse, puissance, conviction. Stop. Gens avides d’entendre. Stop. Louange à Dieu. » En quelques mots télégraphiés à Londres, Catherine Booth minore la réalité de sa situation et de ses deux lieutenantes. Arrivées depuis la Grande-Bretagne à la gare du Nord le 28 février 1881, elles affichent l’indéfectible détermination de jeunes missionnaires pour « gagner le monde à Christ ».