Centres d’hébergement d’urgence
« J’ai fui l’Ukraine lendemain de mon anniversaire »
Quitter l’Ukraine, protéger ses proches et se mettre à l’abri, tous les jours en France des centaines de personnes venues d’Ukraine sollicitent l’aide de l’Armée du Salut pour se nourrir et trouver un moment de répit. Découvrez en vidéo le lieu où nous accueillons chaque jour à Paris, avec des partenaires, des centaines de personnes forcées à l’exil comme Veronika.
Cédric : un métier au cœur de l’urgence sociale
Cédric fait partie de l’équipe sociale d’un centre d’hébergement d’urgence installé dans un tiers-lieu, à Lyon. Pour l’Armée du Salut, il accueille plus de 200 personnes sans domicile, dont une grande majorité de familles. Il nous explique le travail de première urgence à réaliser dans un laps de temps très court auprès de femmes et d’hommes en grande difficulté sociale, et privées de logement. Témoignage.
Découvrez le témoignage d'Adel, 26 ans, sans-abri sauvé par l’Armée du Salut
Quand il pense à ses années d’études, à son emploi bien payé, à son grand appartement, Adel (le prénom a été modifié), 26 ans, semble parler d’un passé glorieux. C’était en 2019, depuis il a connu le chômage, la vie à la rue. L’épidémie de Covid-19 a fait voler en éclats ses projets et brouillé son horizon. Découvrez dans ce témoignage comment l’Armée du Salut lui a tendu la main. Témoignage.
Un « camion-cuisine » dans les rues de Paris pour que les familles hébergées en hôtel préparent leurs repas
Comment bénéficier d’une alimentation saine lorsque l’on est hébergé dans la chambre d’un hôtel social, souvent sans cuisine, sans réfrigérateur et avec un seul micro-onde disponible à la réception ? Pour répondre à cette problématique, la Fondation de l’Armée du Salut a ouvert il y deux ans les cuisines de son établissement « Le Palais de la Femme » à Paris, en partenariat avec le Samu Social de Paris, afin de permettre à ces familles de cuisiner leurs propres repas.
Une journée avec les exilés des campements du nord de Paris
Nous avons suivi pendant une journée les exilés des campements du nord parisien et vous proposons de découvrir le réseau d’entraide mis en place pour offrir le minimum à ceux qui vivent dehors. Un petit déjeuner, un moment de répit, des conseils, une adresse où consulter un médecin et la rencontre d’avocats pour les aider à avancer dans leurs démarches administratives. Reportage.
Enfin des lunettes pour les enfants de familles précaires
Grâce à un partenariat avec la Fondation Optic 2000, le cabinet mobile d’ophtalmologie la « Navette Solidaire » sillonne désormais nos établissements de la France entière et a fait une halte cet été en Alsace. A Mulhouse, une équipe d’ophtalmologues et d’opticiens bénévoles ont ainsi offert 22 dépistages visuels et délivré 12 paires de lunettes à des enfants dont les familles ne pouvaient se permettre de tels soins pourtant essentiels. Comment cela se déroule ? Lisez l’article pour y voir plus clair !
Lutte contre la précarité menstruelle : comment l’Armée du Salut aide les femmes en difficulté
La précarité menstruelle est une réalité quotidienne, en France, pour deux millions de femmes. La Fondation de l’Armée du Salut a pris la mesure de cet enjeu de santé publique et apporte aujourd’hui des solutions concrètes aux femmes souffrant de cette précarité. Reportage.
« Créer un lien social reste le plus important »
A 24 ans, il s’est engagé à l’Armée du Salut lors du premier confinement. Aujourd’hui, il est bénévole pour « Et qu’ça soop ! », le foodtruck solidaire de l’Armée du Salut, à Lyon, et assure des cours de français langue étrangère (FLE). Rencontre avec Clément qui partage le quotidien des personnes en difficulté.
Une bouffée d’air pour les personnes en hébergement d’urgence, de vives inquiétudes sur le front des expulsions
Le Collectif des Associations Unies, dont la Fondation de l'Armée du Salut fait partie, salue la décision du gouvernement de prolonger jusqu’en mars 2022 les 43 000 places d’hébergement d’urgence ouvertes depuis le premier confinement. Cette mesure rompt avec la « gestion au thermomètre » que dénoncent les associations depuis des années, et permet d’éviter la catastrophe sociale que constituerait la remise à la rue de dizaines de milliers de personnes.
Jamil : employé par les Nations unies en Afghanistan, hier. Aujourd’hui, médiateur à l’Armée du Salut
Jamil, 39 ans. Aujourd’hui, il est salarié à la Halte humanitaire de la Fondation de l’Armée du Salut, à Paris. S’il a quitté son Afghanistan natale en 2019 pour venir vivre en France, c’est la peur au ventre. Peur d’être forcé à rejoindre le camp des talibans. Peur de perdre la vie. Découvrez son témoignage.