Emploi

Cédric fait partie de l’équipe sociale d’un centre d’hébergement d’urgence installé dans un tiers-lieu, à Lyon. Pour l’Armée du Salut, il accueille plus de 200 personnes sans domicile, dont une grande majorité de familles. Il nous explique le travail de première urgence à réaliser dans un laps de temps très court auprès de femmes et d’hommes en grande difficulté sociale, et privées de logement. Témoignage.

Quand recycler rime avec s’insérer cela donne La Fabrique230. A Paris, la première ressourcerie de l’Armée du Salut reçoit les dons d’objets, les trie, répare ceux qui peuvent l’être et les revend. Découvrez en vidéo comment se conjuguent réinsertion professionnelle et lutte contre la surconsommation.

La Fondation de l’Armée du Salut va ouvrir au premier trimestre 2022 à Kingersheim le premier garage solidaire du Haut-Rhin. Ce garage solidaire proposera des prestations de location, vente et réparations de véhicules. Il dispensera également un service de conseil-orientation autour de la mobilité (sécurité routière, atelier de sensibilisation, conseils sur l’entretien automobile, etc.). 

A l’appel du réseau Uniopss/Uriopss, les établissements sociaux et médico-sociaux de la Fondation de l’Armée du Salut participeront à la journée nationale de mobilisation du 6 octobre.

Parce que le fait de retrouver une vie autonome passe souvent par le travail et que le travail reste important dans la construction de chacun, la Fondation de l’Armée du Salut a créé il y a de nombreuses années une structure spécialisée dans le retour à l’emploi des personnes en difficulté appelée Travail et Partage. Chaque année, ce sont environ 200 à 250 personnes qui sont ainsi accompagnées.

Le handicap ne doit pas empêcher de travailler. A 38 ans, Loik qui présente une déficience intellectuelle travaille à l’atelier espaces verts d’un ESAT de l’Armée du Salut, à Artenay (Centre). Entretien des espaces verts, culture de plantes dans les serres, aujourd’hui, au-delà de son handicap, c’est de ses compétences dont Loïc voulait vous parler. 

Très jeune, Muhamadou a dû quitter sa famille pour « une vie meilleure » en France. Une vie qui était faite de contrats précaires et de difficultés financières, hier. Aujourd’hui, grâce à la Fondation de l’Armée du Salut il a trouvé un emploi durable et un vrai salaire. Découvrez son témoignage.

Ils sont 79,5 millions à être contraints à l’exode. A fuir la guerre, les persécutions ou les conflits. Ce jeune homme dont vous allez découvrir le témoignage fait partie de ces 1% de cette humanité déplacée. Il a vécu deux vies : une première dans une des régions montagneuses d’Afghanistan, une deuxième, en France à partir de l’hiver 2018.  

En pleine crise sanitaire, quand plusieurs millions de salarié-e-s se confinaient, Antoine (1) a fait partie de ces personnes restées sur le pont pour travailler malgré la pandémie. Agent d’accueil dans des centres sociaux de l’Armée du Salut, il traversait tous les jours Paris en transport en commun. Salarié en insertion, il s’est formé grâce à l’Armée du Salut et s’apprête à retrouver son autonomie après de longs mois de chômage et de précarité. Découvrez son histoire.